Colonialisme vert : accaparer les terres ancestrales au profit de la transition énergétique. 

Colonialisme vert : accaparer les terres ancestrales au profit de la transition énergétique. 

La lutte contre le réchauffement climatique vaut-elle davantage que les droits des peuples autochtones ?

Si le sujet est à l’ordre du jour, c’est que la liste de projets d’énergies renouvelables se faisant au détriment des droits des autochtones ne cesse de s’allonger. En février dernier, l’activiste Greta Thunberg à défendu les Samis, anciennement baptisés les Lapons. Elle réclamait la destruction de deux parcs éoliens qui bafouent leurs droits à pratiquer leur culture, l’élevage de rennes. En octobre 2021, la Cour suprême norvégienne avait déclaré unanimement que ces parcs étaient illégaux, violant les droits des peuples autochtones et contrevenant au Pacte international des Nations-Unies relatifs aux droits civils et politiques qui garantit aux communautés la possibilité de mener leur « propre vie culturelle ». La Cour a ainsi invalidé l’autorisation d’exploitation des 151 turbines sur 130 kilomètres. 

Lire l’article en entier : « Colonialisme vert » : quand les droits humains sont sacrifiés sur l’autel du climat (novethic.fr)

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